dimanche 20 mai 2012

Connaître et reconnaître les saints


——===ooOoo===——
.
Connaître et reconnaître les saints
.
——===ooOoo===——
.

100 destins hors du commun sur les pas du Christ.
200 oeuvres d’art : ce dictionnaire, qui présente
les saints et les saintes les plus connus
.
——===ooOoo===——
.
Le dico des saints dans l'art, 200 oeuvres essentiellesCe dictionnaire iconographique permet de connaître la vie de 100 saints des plus connus, et de les reconnaître dans l’art au travers de 200 œuvres.  Peinture, sculpture, enluminure… autant de belles reproductions richement légendées qui exposent les attributs de chaque personnage.
Des saints martyrs les plus anciens (comme sainte Agnès) aux saints modernes bienheureux (comme Mère Térésa), l’auteur nous entraîne au fil des siècles de l’histoire sainte. De petite taille, ce livre pour petit ou grand, peut servir de guide dans les musées ou les églises.
Xavier Lecœur est journaliste dans la revue Prions en Église et il est l’auteur de plusieurs ouvrages chez Bayard comme Le dico des héros de la Bibledans l’Art(2009) ou Le grand livre des Saints (2005) .
Le Dico des saints dans l’art, 200 œuvres essentielles, par Xavier Lecoeur, éd. Bayard, 259 p., 15.90 €. Á partir de 12 ans
.
——===ooOoo===————===ooOoo===——
.
Patrick
sources :
le monde de la bible 

Grande Bretagne : les conséquences de l’Equality Act


.
——===ooOoo===——
.
les conséquences de l’Equality Act
.
——===ooOoo===——
.
.
On se moque de nous. La soi-disant political correctness se déchaîne encore contre les Chrétiens en Grande-Bretagne. Il s’agit cette fois de l’Église Réformée de Norwich. Depuis 2008 les fidèles de cette église tiennent sur la place du marché un kiosque d’information et y vendent des livres et des articles religieux, dont un prospectus intitulé « Why not Islam » (pourquoi dire “non” à l’islam), dans lequel, de manière simple et inoffensive, sont énumérées les raisons pour lesquelles, d’après les Chrétiens, on ne peut partager les principes de la religion musulmane.
Alan Clifford
Or, bien que ce prospectus ait été écrit il y a plus de dix ans par le Pasteur de cette église, le Révérend Alan Clifford, l’Administration Communale de Norwich vient d’en interdire la distribution et a délogé de la place les fidèles, et ce de façon définitive, suite à la pétition déposée par un citoyen zélé. Comme si cela ne suffisait pas, la communauté de la Norwich Reformed Church a été tout bonnement expulsée de l’Eaton Community Park, bâtiment dans lequel depuis 18 ans elle célébrait tous les dimanches le service religieux, puisque cet immeuble appartient à la Commune (rappelons au passage que le manque d’autonomie des églises à cet égard est de fait un lourd problème pour le protestantisme).
Ce qui rend l’épisode encore plus tragicomique, c’est que la police de Norwich, chargée de l’enquête suite à cette plainte, a reconnu officiellement que le contenu et le ton du prospectus ne contenaient aucun élément répréhensible. Rien d’illicite donc d’un point de vue pénal. Et pourtant, la Commune de Norwich a considéré qu’elle devait traiter cet évènement de manière radicale, au nom de la fameuse loi sur l’Égalité, dite Equality Act 2010, un outil dont le politiquement correct se sert pour lutter contre tout ce qui pourrait être signe d’« instigation à la haine » et d’« intolérance ».
.
Equality Act 2010
.
Le politiquement correct s’appuie paradoxalement sur cette loi pour mettre en place, fort paradoxalement, un comportement spécifique, particulièrement haineux et intolérant à l’égard des Chrétiens. C’est pour cette raison que le Révérend Clifford a publiquement dénoncé le comportement de l’administration de Norwich, indiquant qu’il s’agissait là d’une « forme extraordinairement stupide d’application du politiquement correct », et a déposé une plainte pour pure violation du droit fondamental de liberté d’expression, d’autant que les forces de police n’ont trouvé aucun abus dans l’exercice de ce droit à la liberté d’expression.
La Commune de Norfolk, qui est allée jusqu’à lancer une campagne de sensibilisation contre toute forme de haine et d’intolérance, continue pour sa part à camper sur ses posisitons à l’égard de la communauté chrétienne menée par le Révérend Alan Clifford, et répète à l’envi qu’elle défend le droitimprescriptible qu’est celui de « garantir les bonnes relations entre les citoyens de religions et d’origines culturelles diverses ». C’est donc au nom de ce “devoir” qu’elle a décelé dans le prospectus distribué par les fidèles de la Norfolk Reformed Church, une incitation grave à la haine anti-musulmane, une forme odieuse d’islamophobie, telle que l’a définie et interdite le Norfolk Multi Agency Protocol (NMPA), qui est un règlement communal péremptoire et draconien qui veille à la coexistence pacifique des membres d’une communauté devenue désormais multiethnique.
.
.La Commune de Norfolk
.
.
Bref, de tous ces épisodes de haine contre les Chrétiens, ce que l’on retient c’est en fait la question suivante: mais que se serait-il passé si par exemple quelqu’un avait distribué sur une place de marché un prospectus intitulé “ Pourquoi dire non à la chrétienté ”? Pour dénoncer, par exemple les positions du Christianisme sur les questions de l’homosexualité, de l’avortement de la contraception, de l’euthanasie, du trafic des embryons pour la recherche scientifique, et ainsi de suite. Mais la réponse n’est que trop facile : justement, il ne se serait en fait rien passé. Et tant pis pour l’inflexible et sévère Norfolk Multi Agency Protocol. (G. A.)



.

——===ooOoo===————===ooOoo===——
.
Patrick
sources :
http://www.correspondanceeuropeenne.eu/
http://www.norfolk.gov.uk/
www.guardian.co.uk/law/2011/oct/03/equality-act-first-anniversary
www.waterstones.com/waterstonesweb
www.dft.gov.uk/news/

Parlez-vous français ?




.
——===ooOoo===——
.
.
——===ooOoo===——
.
 JPEG - 43.9 ko.
L’Université au Moyen-ÂgeLa logique – la Réthorique.
Manuscrit francien 574
.
Le thème du déclin de la langue française est souvent balayé d’un revers de main par nos responsables politiques et culturels. Ces derniers font valoir que les discours sur la décadence sont le lot quotidien dans l’hexagone et qu’il faut savoir prendre du recul face à des affirmations un peu péremptoires. Dans l’absolu, je ne saurais leur donner tort. Pourtant, ennous y intéressant d’un peu plus près, il est un paradoxe apparent très intéressant concernant la santé de la langue française dans le monde. D’un côté, nous avons les déclarations officielles des décideurs politiques, culturels et économiques qui visent à nous rassurer : la langue de Molière ne recule pas, elle n’a jamais cédé un pouce face à d’autres idiomes et il n’y a rien à craindre à ce sujet. D’un autre côté, la réalité des chiffres et des tendances offre un tableau nettement plus pessimiste, pour ne pas dire alarmiste. Peut-on encore accorder du crédit aux habituels arguments irréfutables concernant l’expansion radieuse du français dans le monde ?
.
JPEG - 49.6 ko
Les trois livres de Tules 1547
.
« Au nom de l’exception culturelle française, notre langue et notre culture sont valorisées et défendues au plus haut niveau. » Ah, cette fameuse manie de l’exception culturelle !… Certes, certaines nations (pays scandinaves, monde germanophone, etc.) semblent avoir abandonné la partie de manière plus ou moins visible. Pourtant, nous ne sommes pas les seuls à avoir conscience de l’importance de notre langue et de notre culture, tant s’en faut ! Et surtout, cela fait bien longtemps qu’au niveau linguistique, nous avons lâché prise. Il ne s’agit pas d’être pessimiste : cet abandon est entièrement voulu et, avec une véritable volonté politique, nous pourrionsreprendre la main en quelques décennies. Pourtant, plus le temps passe, moins nos dirigeants politiques semblent s’intéresser à la Francophonie et au sort de la langue et de la culture française dans le monde. Le mandat deNicolas Sarkozy a été à cet égard particulièrement désastreux, même s’il ne peut être l’unique responsable du déclin du français dans le monde. Participer aux sommets de la Francophonie ne suffit plus, d’autant plus que même l’immense majorité des citoyens français ne saurait citer la date et le lieu du dernier congrès général de l’organisation (c’était à Montreux, en Suisse, en 2010). Aucune médiatisation, aucune proposition politique concrète, pas de plan ambitieux et public, rien qui permette de promouvoir l’organisme et ses objectifs à court et long terme. Comment se fait-il que les différentes réunions de l’Hispanité ou des sommets de la Communauté des Pays de Langue portugaise bénéficient d’une meilleure visibilité ? Peut-être parce que des moyens réels sont investis en ce sens ?
.

L’une des pages de l’ordonnance
de Villers-Cotterêts
.
« Les chiffres parlent pour nous : plus de 700 millions de francophones et 85 millions d’étudiants dans le monde ! » La plupart des données dans les médias sont généralement surévaluées. Il est impossible, lorsque l’on veut évaluer la population de langue française sur la planète, de se contenter d’additionner les chiffres officiels de chaque pays membre de la Francophonie. Pourquoi ? D’abord parce que le français n’y est pas officiel partout et que tous les Albanais (ils sont près de 3 millions) ou tous les Cambodgiens (ils sont un peu moins de 15 millions) ne pratiquent pas la langue de Molière. Ensuite parce que, même dans les pays où le français est langue officielle, une part non négligeable de la population ne le pratique pas. C’est notamment le cas dans une grande partie des pays africains. LaRépublique démocratique du Congo, par exemple, pourrait virtuellement être le plus grand pays francophone au monde (elle est peuplée de plus de 71 millions d’habitants). Mais, dans les faits, les Congolais ne sont que 3 millions à maîtriser réellement le français, contre 36 millions à utiliser le lingala comme lingua franca. Si l’Afrique est bien, démographiquement et économiquement, le plus grand « réservoir » pour la langue de Molière, rien n’est gagné en la matière. Pour rester réalistes, nous pourrions estimer la population francophone totale (locuteurs maternels et locuteurs secondaires) à 200 millions de personnes dans le monde, peut-être un peu plus. C’est une bonne base, mais notre place relative (neuvième langue la plus parlée dans le monde) montre à quel point nous avons chuté depuis la fin du xixe siècle ou même depuis 1950.
.
JPEG - 149.5 ko.
Classe au XXème siècle  Reconstitution
.
« Plus de 70 pays parlent le français, l’une des seules langues à être parlées sur les cinq continents ! » La Francophonie est en train de devenir une petite copie de l’Organisation des Nations unies. Cela peut sembler bien… si ce n’est que bon nombre des nations qui la composent ne font rien pour valoriser et diffuser le français, malgré l’argent reçu à cette fin. Le nombre de francophones au Vietnam et au Laos est devenu insignifiant ; il est en chute libre ou en voie de disparition au Liban, en Égypte, en Arménie, en Roumanie ou en Bulgarie ; il n’a jamais été réellement élevé et ne tend pas à le devenir au Cap-Vert, en Guinée équatoriale, en Slovaquie, en Pologne, en Hongrie, en Lituanie ou en Macédoine. Aucun de ces pays n’obtient des résultats probants dans la défense et l’illustration de notre langue, pour ne pas dire que la plupart d’entre eux s’en moque éperdument aujourd’hui. Alors pourquoi dépenser de l’argent et les maintenir dans la Francophonie ?
.

Agence intergouvernementale
de la Francophonie
.
La présence du français s’est réduite un peu partout, et il ne faut pas se cacher derrière l’argument des cinq continents : que peuvent peser moins de 20 millions de locuteurs natifs ou secondaires sur plus de 900 millions en Amérique ; environ 25 millions sur plus de 4 milliards en Asie ; ou un peu plus de 250 000 sur plus de 30 millions en Océanie ? Nos deux seuls véritables socles sont l’Afrique et l’Europe mais, partout, nous perdons du terrain dans l’apprentissage. Le chiffre de 85 millions d’apprenants, cité plus haut, est largement fantaisiste : nous sommes peut-être plus proches de 10 millions en tablant large, ce qui fait encore du français la troisième langue la plus apprise au monde, derrière l’anglais et l’espagnol. Sur le continent américain, les États fédérés canadiens non francophones ont relégué l’apprentissage du français au second plan derrière l’espagnol, de même que les États-Unis d’Amérique. Au Brésil, nous avons perdu la partie en faveur de l’espagnol et, dans les autres pays latino-américains, en faveur du portugais, le tout dans le cadre du Mercosur. Même en Chine ou au Japon, lorsque l’anglais et l’espagnol sont passés, il reste peu de place pour une autre langue occidentale. Quant à l’Europe orientale, elle vogue entre l’anglais et l’allemand, avec la pénétration récente et rapide de la langue de Cervantès.
Pourtant, rien n’est totalement perdu et il s’agit d’être réaliste, pas pessimiste. Le français n’aura pas à affronter un déclin démographique et culturel aussi massif que celui de l’allemand ou du japonais dans les décennies à venir. Deux actions-force sont à mener :
-         Réorganiser notre action culturelle et linguistique à l’étranger. Nous dépensions presque 900 millions d’euros en 2007 pour notre projection culturelle à l’étranger, soit 12,6% de notre budget total. C’est à la fois trop et trop peu. Trop, parce qu’avec des sommes nettement plus modestes, certains pays ont de meilleurs résultats que nous (200 millions d’euros suffisent au Royaume-Uni, 90 millions à l’Espagne). Et l’expansion « naturelle » de leur langue n’explique pas tout. Trop peu parce qu’il y a encore dix à douze ans, nous consacrions 20,5% de notre budget à cette tâche. J’ai conscience que la crise est passée par là, que le temps est l’austérité aveugle. Mais de deux choses l’une : soit nous assumons notre « mini » ONU impuissante avec un budget conséquent, soit nous coupons dans le vif pour coller au plus près de la réalité et nous pourrons alors dépenser moins d’argent pour plus de résultats. Il en va de même pour nos 144 Alliances françaises dans le monde : le plus grand réseau du monde mais des résultats moindres qu’un peu plus de 70 Instituts Cervantès. Un peu de ménage à faire ?
.
-        .
Favoriser l’enseignement systématique, notamment par des moyens financiers réels, du français en Afrique et, dans le même temps, aider au développement du continent. C’est à ce prix que notre « réservoir » linguistique sera effectif mais aussi que nous pourrons renforcer la présence commerciale (le français n’est encore que la sixième langue d’échanges au monde, la quatrième si on ne compte que les langues d’origine européenne) ou dans les nouvelles technologies (la langue de Molière est la huitième langue la plus représentée sur la toile, mais notre potentiel de croissance y est important). Ce n’est plus sur notre passé de langue diplomatique que se joue la concurrence, désormais, mais bien dans ces deux domaines : développement et informatique.
.
Nicolas Klein
.
——===ooOoo===————===ooOoo===——
.
Patrick
sources :

http://www.academie-francaise.fr/
http://www.tlfq.ulaval.ca/
http://www.espacefrancais.com/home.php
http://veille-education.org/
http://www.languefrancaise.net
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_langue_fran%C3%A7aise

Nouveautés, livres … “écolo….” !


.
.
——===ooOoo===——
.
La fin des terres
Comment mangerons-nous demain ?
.
——===ooOoo===——
.
Hauts plateaux
.
.
.
Si l’on ne réagit pas rapidement, l’humanité ne produira bientôt plus assez pour se nourrir et le prix des aliments sur le marché seront hors de portée de la majorité de la population.
.
En France aujourd’hui, disparait l’équivalent d’un département de terres agricoles tous les 7 ans ! Augmentation de la démographie, migrations de population, sur-exploitation des terres agricoles, urbanisation intensive, les causes sont multiples. Loin des recommandations du Grenelle de l’environnementla France continue à consommer ses terres et à réduire chaque année sa capacité de production agricole s’obligeant à importer au prix fort de l’énergie des produits alimentaires et risquant à terme de mettre en péril sa souveraineté alimentaire.
.
.
Plus largement, partout dans le monde, les terres sont menacées par l’accaparement des sols par les pays riches et les entreprises puissantes (exemple de l’Ethiopie où les autorités ont cédé 350 000 hectares aux compagnies étrangères entre 2008 et 2011), la pression foncière (en ces temps de crise, le sol représente une valeur refuge), l’exploitation trop intensive (qui est en passe d’anéantir la richesse biologique des sols) et le poids des lobbies (qui influencent souvent les décisions des gouvernements).
.
champ de lavandin
.
Si des initiatives locales sont déjà prises, signe d’un réveil et montrant que ces solutions sont viables, elles demeurent encore trop rares. S’appuyant sur l’exemple de Mouans-Sartoux (où la ville propose aux cantines scolaires une alimentation biologique de qualité et de proximité, restant très raisonnable en terme de coût) et de quelques communes exemplaires, et sur le rapport de l’ONU sur l’agroécologie (« L’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans », présenté le 8 mars 2011), les auteurs de ce livre s’attachent à démontrer qu’il est possible de nourrir la planète avec une agriculture raisonnée, contrairement à ce que les lobbies industriels et agroalimentaires voudraient laisser penser !
.
.
.
Editeur : Scrineo
.
Auteur(s) : André Aschieri, Maud Lelièvre
.
parution : 18/05/2012
.
prix indicatif : 19 Euros
.
.
——===ooOoo===————===ooOoo===——
.
.
.
.
.——===ooOoo===——
.
Au secours une bestiole ! 
.
Manuel antistress face aux bêtes qui nous embêtent
.
.——===ooOoo===——
.
araignees
.
Les araignées vous affolent ? Les guêpes vous tyrannisent ? Les blattes vous dépriment ? Les crapauds vous dégoûtent ? Les souris vous paralysent ? Les serpents vous stressent ?
.
Maisons et jardins semblent envahis par… l’ennemi. Comment dès lors survivre dans cette jungle ordinaire ? En déstressant ! Car l’ennemi, à poils, à plumes, à pinces, à dards, n’en est pas un. Rares en effet sont les bestioles qui piquent, mordent, pincent, attaquent, bref, aucune d’entre elles ne nous en veut, qu’on se le dise, au contraire… Ce petit manuel pratique de réconciliation réhabilite une minifaune utile autant que sympathique en mettant fin aux idées reçues et en délivrant des conseils de pro pour vivre sereinement avec les bestioles.
.
.
Un petit livre très utile et clair pour comprendre et mieux appréhender ces animaux qui nous semblent hostiles et qui, pourtant, nous craignent et bien souvent nous aident !
.
.
Editeur : Delachaux et Niestlé
Auteur(s) : François Lasserre, Roland Garrigue
parution : 10/05/2012,
prix indicatif : 12.5 Euros
.
insectes
——===ooOoo===————===ooOoo===——
.
Patrick
sources :
== http://www.notre-planete.info/